Ok, Marie-Antoinette, que j'lui fais, mais d'abord, ça marche aussi sans me braquer et sans me traiter de pédale, pis faudrait p'têt prendre en compte mon haut pignon, et à partir de dorénavant suivre sans broncher la voie où ma carte et moi-même vous guidons, dussions-nous emprunter la rue Stine... (Elle ne se doutait pas encore à c't'heure que j'en connaissais un rayon, en p'tite Reine...)
Arrivés devant ma draisienne, elle me souffla, cinglante : "Et là on fait quoi?"
Elle n'avait peut-être pas tort (boyau)
Haaa! avec un triple a, pour ces trois photos qui arrachent un (trois) ultime(s) effort(s) à mes zygomatiques fatigués, stressés, agacés par ces mômes qui ne comprennent rien et que d'habitude, ça va, mais là, il faudrait quand même que tout le monde parte en vacances...
RépondreSupprimerEh oui c'est le cycle de la vie, et quand ça déraille il faut parfois savoir quitter sa chambre à l'air si familier et fermer sa porte, bagage à la main. Retrouvons-nous avec les danseuses sur les pistes (cyclables) et pelotons-nous dans le foin et évitant les fourches d'Eventuels Paysans Offensés et en sonnant d'un bon coup de botte les serpents à sonnette...
Ne sonne pas trop fort, Raymond Pouli dort ;)
SupprimerC'est le clou!
RépondreSupprimerC'est le clou!
RépondreSupprimerJe pense que vous êtes chauds pour devenir chroniqueurs entre 7 et 9 sur une radio à logo blanc sur fond rouge... Vous vous déchaînez !!
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