Un des trucs que j'aime bien sur ce blog, mis à part le fait qu'il y ait plein d'imagistes d'horizons divers et variés, est que du coup on voit à quel point chacun a sa propre vision de la photo : l'un se balade toujours avec son appareil et attend de se retrouver nez à nez avec son sujet, l'autre va fouiller dans les boyaux de sa tête si dans ses archives y aurait pas... Pour ce thème, une fois n'est pas coutume, j'ai décidé d'être "celui qui pense à un truc et qui s'arrange pour que ça arrive" (je n'oserai pas parler de metteur en scène, faut pas déconner ! :-).
Alors par contre je vous préviens les âmes sensibles, l'image qui suit est d'une violence sans égale ; certes, fixée sur votre écran, celle-ci peut vous paraître sans intérêt et pitoyable, mais sachez qu'il n'en est rien. J'en veux pour preuve la rapidité de la scène et le crie d'agonie de la pauvre victime, dévorée vivante...
Et pour ceux qui ont encore des doutes, pour rappel...
A bon entendeur, salut !
C'est moi où le monstre poilu est flou?
RépondreSupprimer@ tom : Le monstre poilu bouge autant que toi quand tu jettes des quilles en l'air!
RépondreSupprimerBah y'a qu'à l'empailler alors!
RépondreSupprimerJe confirme : l'est un peu flou l'animal... alors que j'ai pris la photo au 1/2000, je crois ! C'est vous dire la rapidité de l'action. :-P
RépondreSupprimerAh, je crois que Tom a un problème avec les "flous"... :) Peut-être une prochaine idée de thème ?
RépondreSupprimerCa doit remonter à la tendre enfance peut-être ?
RépondreSupprimerTendre enfance ou pas, moi je dis qu'il n'est pas net ce garçon...
RépondreSupprimer